Maître Caroline Bris,
Avocat spécialiste droit de la famille, des personnes et du patrimoine
En matière familiale, il est de l’intérêt de chacun d’être accompagné pour être conseillé tout le long de la procédure, que cette procédure soit conflictuelle ou non. Quoi qu’il en soit, le recours à un avocat est très souvent obligatoire ou très fortement conseillé.
Lorsque le couple se sépare dans l’apaisement, l’avocat pourra vous aider à donner à votre accord une force juridique certaine et éviter des difficultés à venir.
Lorsque le couple se sépare dans des conditions difficiles, l’avocat pourra soit vous aider à apaiser certains conflits et trouver une solution transigée, soit à préparer au mieux votre défense.
Quoi qu’il en soit, le recours à un avocat est très souvent obligatoire.
Tel est le cas pour les procédures suivantes :
- divorce (par consentement mutuel, pour faute, sur demande acceptée et pour rupture de la vie commune),
- séparation de corps,
- liquidation de communauté, assignation en partage,
- filiation et paternité, adoption simple ou plénière, nationale ou internationale, pour un couple hétérosexuel ou homosexuel…
Si l’avocat n’est pas obligatoire pour les procédures relatives aux pensions alimentaires ou au droit de visite et d’hébergement ou encore au placement sous un régime de protection (tutelle, curatelle…), la présence d’un Avocat à vos côtés est souvent indispensable.
Lorsqu’il est question de la résidence des enfants ou du droit de visite et d’hébergement du parent, la première décision rendue par le juge sera déterminante quant à l’avenir de vos relations parentales.
En effet, si cette décision ne vous convient pas, il faudra faire appel de cette décision, la procédure d’appel ayant une durée d’environ un an. La décision qui ne vous convient pas devra s’appliquer durant toute l’année.
Maître Caroline Bris, spécialiste en droit de la famille, des personnes et de leur patrimoine, vous accueille, vous conseille et vous assiste avec une grande expertise.
Rappel sur le droit des conjoints
Il est utile de rappeler que le régime des conjoints, qu’ils soient mariés, pacsés ou en concubinage, a une influence très importante quant à la procédure à engager et les conséquences sur les droits de chacun.
Seul le mariage protège réellement financièrement les deux membres d’un couple, que ce soit dans le cadre d’une séparation ou d’un décès.
Il convient de prendre attache avec Maître Caroline Bris pour déterminer la différence de régime et de droit applicable et vous permettre ainsi de bénéficier des conseils avisés d’un avocat spécialiste pour défendre vos droits et intérêts.
Y a-t-il des différences de droits entre les enfants issus de parents mariés et pacsés ?
Contrairement aux rapports entre les conjoints, il n’existe aucune différence de droit entre les enfants de parents, mariés, pacsés ou en concubinage, sous réserve évidemment que la filiation des enfants soit établie à l’égard des deux parents.
Si tel n’est pas le cas, Maître Caroline Bris peut vous conseiller pour engager une procédure afin d’établir un lien de filiation avec votre enfant biologique.
Il peut également être engagé une procédure d’adoption plénière (pour les couples mariés) ou une adoption simple. Les procédures d’adoption internationale et l’obtention d’agrément à l’adoption font également l’objet de critères spécifiques et de contestations régulières.
Les conditions d’établissement de filiation biologique ou d’adoption sont souvent nombreuses et très strictes.
Dans tous les cas, ce contentieux très spécifique concernant tant les familles hétéroparentales qu’homoparentales est régulièrement géré par Maître Caroline Bris, qui bénéficie en la matière d’une réelle expertise.
Maître Caroline Bris intervient ainsi quotidiennement sur toutes les questions liées aux enfants, que ce soit devant le juge aux affaires familiales lorsqu’il est question d’organiser les mesures les concernant lorsque les parents se séparent ou que ce soit devant le juge des enfants lorsque l’enfant est considéré comme étant en danger.
Maître Caroline Bris intervient donc sur toutes les questions liées à l’enfant, de l’établissement de sa filiation à l’organisation des mesures le concernant, comme sa résidence principale ou alternée, le droit de visite et la pension alimentaire.